JAMES WOODS, SES 10 FILMS-CLE
James Woods, cet immense acteur, qui n'a jamais décroché un oscar (alors qu'il était nommé pour sa prestation éblouissante dans Salvador). Le problème c'est que l'acteur a un sale caractère, il n' jamais hésité à ouvrir sa gueule, et surtout sur des sujets politiques. En 99 après le parjure de Clinton (empêtré dans l'affaire Lewinsky), il rejoindra le Parti Républicain, alors qu'il était jusque là démocrate. Et plus les années vont passer, plus Woods va se "droitiser" voire même
"s'extremedroitiser" (oui je sais j'invente des mots et j'trouve ça classe)... Ses collègues du showbiz Hollywoodiens ne voient pas ça d'un très bon œil. On le sait (même aux USA), le monde du spectacle a tendance à être de gauche.
Récemment il a apporté son soutien à Donald Trump et a dénoncé un trop fort et injuste "Trumpbashing". Ce n'est que son avis.
Ses 10 films clés:
Les visiteurs (1972) . Rien à voir, bien sûr, avec Jacquouille et Godfroy de Montmirail. Non, là on est plutôt dans le drame bien glauque réalisé par un Elia Kazan fatigué. Woods, des années plus tard, dira qu'il a été très décu de la direction d'acteurs du fameux metteur en scène.
Tueurs de flics (1979)
Harold Becker met en scène deux malfrats qui vont organiser l'enlèvement du bébé de Charles Lindbergh, le fameux aviateur.
Videodrome (1983)
Woods tient le rôle vedette dans l'univers fantasmagorique "Cronenbergien". Le film adoubé par la critique internationale fut un échec retentissant.
Il était une fois en Amérique (1984)
Dernière superproduction du "géant" Leone. Woods rejoint un casting brillant: Robert De Niro, Elisabeth Mc Govern, Joe Pesci, Burt Young (vous savez le beau frère lourdingue de Rocky Balboa) ou encore Treat Williams.
Salvador (1986) D'Oliver Stone.
Woods joue un grand reporter envoyé sur le conflit Salvadorien du début des années 80. Ca reste un de mes 2 ou 3 meilleurs films de la décennie.
Une claque exceptionnelle d'intensité et de violence (pas gratuite).
Cop (1987)
Woods poursuit une sorte de "sérial Killer". Le mot a été inventé une dizaine d'années auparavant par un des premiers profileur du FBI: Robert Ressler (voir à ce sujet la série Mindhunter, une "tuerie", c'est le cas de le dire!).
Pacte avec un tueur (1987) De John Flynn.
L'occasion de voir deux acteurs magistraux au sommet de leur art: Woods bien sûr et l'immense Brian Dennehy. Deux de mes acteurs préférés dans le même film... Que du bonheur.
La manière forte (1991) ou quand un flic "dur à cuir" doit faire équipe avec une vedette Hollywoodienne prétentieuse et couarde (jouée par Mickael J Fox) pour le préparer à son nouveau rôle. Une bonne comédie mouvementée. Bien qu'on ait connu des "Buddy movies" plus réussis.
Casino (1995) de Martin Scorcese
Woods est Lester Diamond, l'amant junkie de Ginger Rothstein.
Robert De Niro, Joe Pesci, Sharon Stone et James Woods réunis dans MON FILM FETICHE... Jubilatoire!
Vampires (1998)
L'acteur campe un redoutable chasseur de vampires dans ce très bon film d'un des maitres du fantastique : Monsieur John Carpenter.
"s'extremedroitiser" (oui je sais j'invente des mots et j'trouve ça classe)... Ses collègues du showbiz Hollywoodiens ne voient pas ça d'un très bon œil. On le sait (même aux USA), le monde du spectacle a tendance à être de gauche.
Récemment il a apporté son soutien à Donald Trump et a dénoncé un trop fort et injuste "Trumpbashing". Ce n'est que son avis.
Ses 10 films clés:
Les visiteurs (1972) . Rien à voir, bien sûr, avec Jacquouille et Godfroy de Montmirail. Non, là on est plutôt dans le drame bien glauque réalisé par un Elia Kazan fatigué. Woods, des années plus tard, dira qu'il a été très décu de la direction d'acteurs du fameux metteur en scène.
Tueurs de flics (1979)
Harold Becker met en scène deux malfrats qui vont organiser l'enlèvement du bébé de Charles Lindbergh, le fameux aviateur.
Videodrome (1983)
Woods tient le rôle vedette dans l'univers fantasmagorique "Cronenbergien". Le film adoubé par la critique internationale fut un échec retentissant.
Il était une fois en Amérique (1984)
Dernière superproduction du "géant" Leone. Woods rejoint un casting brillant: Robert De Niro, Elisabeth Mc Govern, Joe Pesci, Burt Young (vous savez le beau frère lourdingue de Rocky Balboa) ou encore Treat Williams.
Salvador (1986) D'Oliver Stone.
Woods joue un grand reporter envoyé sur le conflit Salvadorien du début des années 80. Ca reste un de mes 2 ou 3 meilleurs films de la décennie.
Une claque exceptionnelle d'intensité et de violence (pas gratuite).
Woods poursuit une sorte de "sérial Killer". Le mot a été inventé une dizaine d'années auparavant par un des premiers profileur du FBI: Robert Ressler (voir à ce sujet la série Mindhunter, une "tuerie", c'est le cas de le dire!).
Pacte avec un tueur (1987) De John Flynn.
L'occasion de voir deux acteurs magistraux au sommet de leur art: Woods bien sûr et l'immense Brian Dennehy. Deux de mes acteurs préférés dans le même film... Que du bonheur.
La manière forte (1991) ou quand un flic "dur à cuir" doit faire équipe avec une vedette Hollywoodienne prétentieuse et couarde (jouée par Mickael J Fox) pour le préparer à son nouveau rôle. Une bonne comédie mouvementée. Bien qu'on ait connu des "Buddy movies" plus réussis.
Casino (1995) de Martin Scorcese
Woods est Lester Diamond, l'amant junkie de Ginger Rothstein.
Robert De Niro, Joe Pesci, Sharon Stone et James Woods réunis dans MON FILM FETICHE... Jubilatoire!
Vampires (1998)
L'acteur campe un redoutable chasseur de vampires dans ce très bon film d'un des maitres du fantastique : Monsieur John Carpenter.
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